jeudi 30 décembre 2010

Sol de invierno

Javiera Mena est une artiste pop indé chilienne (oui, ça existe...)... encore une fois je ne traduis pas puisque "l'espagnol c'est facile à comprendre"... ok, je le répète trop mais je le répèterai autant de fois que je l'ai entendu pendant que je faisais mes études et que des connauds qui pensaient faire des études plus nobles sous-entendaient qu'en fait j'avais choisi une voie facile. Une de mes tantes m'avaient demandé - alors que je venais d'avoir mon bac "Alors Pierre, qu'est-ce que tu vas faire ?", j'avais répondu "Je vais en fac d'espagnol", ce après quoi ma tante concluait sur cette remarque "Ah ?! Je pensais que tu pouvais faire mieux"... le nombre de fois où ensuite j'ai entendu des gens me dire "Arf, l'espagnol c'est quand-même facile, on comprend tout... c'est pas bien compliqué". Donc, voilà, amis français qui comprenaient forcément tout de l'espagnol, je vous laisse comprendre. J'ai fait de longues études d'espagnol, j'habite en Espagne depuis 5 mois et parfois moi-même je n'arrive pas à tout comprendre, donc je m'en remettrai désormais aux génies de la compréhension spontanée d'une langue "facile à comprendre". Si l'on ne fait pas de russe ou de japonais les autres langues sont faciles "parce que moi, j'comprends tout hein, si on le parle lentement, y a des mots qui ressemblent". Pourtant, l'espagnol comme le russe ou le japonais a ses difficultés, notamment le débit extrêmement rapide des autochtones quand ils le parlent... si à l'écrit pour un français ça reste abordable parfois parce que 2 ou 3 mots se ressemblent, à l'oral c'est une autre histoire à la fois à parler et à comprendre. Je n'ai jamais eu trop de problèmes à comprendre l'anglais en V.O. dans certains films... pour l'espagnol je tends encore l'oreille bien que j'en mange matin, midi et soir. Bon là, top facile pour vous, la chanteuse chante très lentement donc tout est clair comme de l'eau de roche, non ?

Nunca estás a la altura

Les Espagnols sont les champions du monde de la pop, il existe un myriade de groupes de ce style avec des couplets et refrains bien troussés sur voix et mélodies sucrées. J'aime bien ce clip parce qu'il a été tourné en Andalousie, c'est le paysage typique des rues et une "lumière" que je reconnais (à moins que ce ne soit dans la Communauté-Province de Murcia, lieu d'origine du groupe). En revanche je ne suis pas sûr de la ville, je préfère m'abstenir quant à faire des pronostics. Encore une fois je ne traduis pas cette chanson de Klaus & Kinski c'est tellement facile l'espagnol à comprendre, hein...

Instantané d'Aragón - XIII

Alors, ça fait pas rêver l'Espagne ? Pays du soleil, de la paella et du flamenco ? Bon, ok, Huesca c'est un peu le pays du brouillard... je le concède ! Là, on est à 50m de chez moi... je casse un peu le mythe pour ceux qui s'imaginaient que tout n'était que grand soleil et fiesta dans les jolies haciendas.

mardi 28 décembre 2010

Dinero

Un titre 2ème degré des excellents Punsetes, je ne traduis pas puisque l'espagnol est - paraît-il - parfaitement compréhensible pour un français...

Instantané d'ailleurs - LXXXV

Abbaye de Fontevraud (Maine-et-Loire, Pays de la Loire), juin 2009 © p.o.v.

lundi 27 décembre 2010

Les divergences du je - XXIX

Ouh la la... mais je ne ressemble plus du tout à ça, silhouette et coiffure... j'étais pas beau en septembre 2008, fraichement débarqué en Touraine ? ;-)
Autoportrait, Monts (Indre-et-Loire, Centre), septembre 2008 © p.o.v.

Blue Nowhere (ft. Alf Hollow)

Bon, ben ça c'est une de "mes chansons à moi", sortie de mon four... j'ai eu la chance de trouver une jeune interprète, Alf, qui chante sublimement bien et qui a bien voulu poser sa voix sur ma musique et mes paroles en y ajoutant une vraie touche créative personnelle. Chanson composée l'an passé, ça traite de solitude, du refus plus ou moins volontaire des autres à vouloir m'aider à la casser, des jours qui se ressemblent...etc...etc. Les paroles sont volontairement assez simples et directes au final. Je suis content d'avoir mené un petit projet de A à Z. Donc voici "Blue Nowhere", paroles et musique de monsieur moi-même et chant de mademoiselle Alf Hollow. C'est pas une qualité studio mais pour un projet amateur, je suis assez content du résultat.
" 'Everyday' seems like you know...
'Pieces of eternity'
Pouring on me, pouring on me

Lockep up in that silence
You still refuse to hear
You are there when I stay here

And when I raise my eyes
Well, there's no surprise
I just see a blue nowhere
And as much as I gaze
The clouds hangin' there
I can't find me anymore

I think you're all wrong
Because you know I'm not that strong
I think you're all wrong
Because you know I'm not that strong

And when I raise my eyes
Well, there's no surprise
I just see a blue nowhere
And as much as I gaze
The clouds hangin' there
I can't find me anymore."

dimanche 26 décembre 2010

Instantané d'ailleurs - LXXXIV

Nice (Alpes-Maritimes, Provence-Alpes-Côte d'Azur), 2006 © p.o.v.

Instantané d'Aragón - XII

Le long de la Basilique de Santa María del Pilar à Zaragoza on se laisse hypnotiser par l'agréable cliquetis de l'eau de cette fontaine.
Zaragoza (Espagne, Aragon), septembre 2010 © p.o.v.

So far away

"Here I am again in this mean old town
And you're so far away from me
And where are you when the sun goes down
You're so far away from me
So far away from me
So far I just can't see
So far away from me
You're so far away from me
I'm tired of being in love and being all alone
When you're so far away from me
I'm tired of making out on the telephone
And you're so far away from me
So far away from me
So far I just can't see
So far away from me
You're so far away from me
I get so tired when I have to explain
When you're so far away from me
See you been in the sun and I've been in the rain
And you're so far away from me
So far away from me
So far I just can't see
So far away from me
You're so far away from me."

samedi 25 décembre 2010

Instantané d'Aragón - XI

Huesca (Espagne, Aragon), décembre 2010 © p.o.v.

Une épreuve de passée


Je parle de Noël évidemment. Me voilà revenu en France sans vraiment savoir pourquoi... parce que je suis un mauvais menteur et que j'ai un vieux fond de bonne conscience mêlé à de petits restes d'hypocrisie je me suis une fois de plus mélangé à la famille pour Noël... enfin la famille sans mon frère qui est resté avec "sa famille" à lui, je le comprends. Je me dis que j'aurais été bien mieux à rester en Espagne en prétextant des tonnes de neige dans les montagnes de la frontière. Je crois plus du tout en la valeur famille, c'est une chose qui a explosé en vol depuis des années déjà. Et nous voilà tous à jouer une comédie d'être content de se voir. Je pense que le reste de la famille était content de me voir, peut-être, mais pas moi. Depuis que je suis retourné en France, c'est le gros stress, le gros coup de barre avec un vieil arrière-goût de l'an passé. Je déteste encore plus ce Noël que les autres où l'on reste incapables de se dire des choses agréables et où je suis incapable d'être sympa même en essayant de faire semblant. Le 25 décembre reste une journée où je "dois" m'engueuler, à se crier dessus, me prendre la tête avec ma mère sur des trucs qui datent de 15 ans, juste parce que c'est comme ça et que ça ne changera pas. C'est de l'énergie qui vole en éclats à chaque fois et j'ai de moins en moins envie de me livrer à la comédie du "on s'adore" parce que c'est faux. Ma famille ne me sert à rien, juste à me filer des angoisses. Là, je n'ai qu'une envie, redescendre en Espagne, c'est dire. Je songe régulièrement à couper les ponts définitivement et ma mauvaise conscience me rattrape à me penser des choses pareilles. Je n'ai pas envie qu'on me dise "avec le temps ça va s'arranger", parce que je ne suis pas sûr de vouloir que ça s'arrange... l'incompréhension est totale, j'ai l'impression que ma famille est ailleurs, chez d'autres gens, et ça fait mal de le reconnaître et je me dis qu'en pensée je fais du mal à ma vraie famille... bref. Je n'aime pas Noël et, ouf, c'est passé... j'ai 365 jours de répit devant moi.

jeudi 16 décembre 2010

Los peces en el río (Chant de Noël espagnol)

"Los peces en el río" ("Les poissons dans la rivière") est un des chants de Noël (un "villancico" comme on dit en Espagne) les plus connus dans la Péninsule. C'est un peu le "Petit Papa Noël" en jaune et rouge. Tous les petits Espagnols le connaissent. Allez, tous ensemble !

"La Virgen se está peinando
Entre cortina y cortina
Los cabellos son de oro
Y el peine de plata fina

Pero mira como beben
los peces en el río
Pero mira como beben
por ver a Dios nacido
Beben y beben
y vuelven a beber,
Los peces en el río
por ver a Dios nacer.

La Virgen está lavando
Y tendiendo en el romero,
Los angelitos cantando,
Y el romero florecido.

(refrain)

La Virgen está lavando,
Con un poquito jabón,
Se le picaron las manos,
Manos de mi corazón.

(refrain)."

Marlene

"Hier und immer,
Da kennt man sie,
Kreuz unter Kreuzen
Marlene immer liebt"

mercredi 15 décembre 2010

Instantané d'Aragón - X

Niebla y pluma, niebla en la pluma, pluma en la niebla...
Huesca (Espagne, Aragon), décembre 2010 © p.o.v.

Des idées mises en boîte - VI

Qu'est-ce qu'on mange ?
© p.o.v.

Instantané de Touraine - XXXVI

Azay le Rideau (Indre-et-Loire, Centre), avril 2009 © p.o.v.

samedi 11 décembre 2010

Instantané d'Aragón - IX

On m'avait dit, quand je suis arrivé, "tu vas voir, à Huesca il ne pleut pas beaucoup, il ne neige pas, par contre l'embêtant c'est le brouillard, il est tenace". C'est pas faux. Le jour où je me décide enfin de prendre la bagnole pour monter un peu dans les paysages et les prendre en photo, je me suis retrouvé en plein dans une purée de pois... du coup, ben, j'en ai profité pour prendre des photos d'ambiances de mon quartier !
Huesca (Espagne, Aragon), décembre 2010 © p.o.v.

vendredi 10 décembre 2010

Le jour où...



Le jour où tes yeux se sont éteints
A perte de vue disparaissaient les chemins
Sur lesquels des chiens couleur cannelle
Déjà oubliaient peu à peu d'aboyer

Par ton regard tracés du bout de l'infini
Les contours neufs du monde tremblaient
Comme frémissent des paupières fragiles
Vaincues, balayées par le souffle du mal

Les traces légères de toi que nous devenions
A leur tour semblaient fuir sans révérence
L'écho de toutes ces mélodies transparentes
Que le vent jouait à la harpe de tes cheveux

Dès lors du temps inutile se construisait
Sur le plancher de tous nos soupirs tus
Là où nous, chiens abandonnés en chemin,
Apprenions déjà peu à peu à t'oublier.

texte / musique © p.o.v. 2010.

mercredi 8 décembre 2010

Les étendues sous le ciel - XIII

Île de Sein (France, Finistère, Bretagne) juillet 2009 © p.o.v.

Instantané d'Aragón - VIII

Le centre-ville de Zaragoza, la capitale aragonaise, avec le bus 35 qui va au Parque Goya (Goya était aragonais). Je ne connais pas le nom de la statue en plein milieu, faudra que je me renseigne.
Zaragoza (Espagne, Aragón) septembre 2010 © p.o.v.

Michel Sardouille - "La rupture tranquilou"

Pour apporter un éclairage sur Michel Sardou, car le talentueux Silver exilé de nombreuses années en Asie (le veinard) ne sait pas trop qui c'est, voici un parodie que je ne trouve même pas assez caricaturale...

mardi 7 décembre 2010

"Faut pas leur en vouloir" - I : Michel Sardou

J'inaugure une nouvelle rubrique dans laquelle j'essaye de donner des raisons pour lesquelles telle ou telle personnalité qui me semble insupportable est donc insupportable.

MICHEL SARDOU


Bon, ben faut pas lui en vouloir à Michel... il a quand-même été élevé par Jackie Sardou. Je crois que là... ben, voilà quoi !

lundi 6 décembre 2010

Lapis Lazuli

Toujours dans ma période japonaise, NIZ a sorti il y a déjà bien des mois un petit e.p. ("Stone")  sympathique avec ce son sur plusieurs couches et saturé comme il faut... une petite perle du mouvement shoegaze. A écouter avec un casque pour profiter du mille-feuilles sonore... titre entêtant à souhait !

Instantané de Touraine - XXXV

Ce sont les charmes typiques de coins de Touraine...
Chinon (Indre-et-Loire, Centre) avril 2009 © p.o.v.

L'art de la joie - VII

au son d'une batucada tourangelle...
 Joué-lès-Tours (Indre-et-Loire, Centre) juin 2009 © p.o.v.

dimanche 5 décembre 2010

Call past rain

Fabuleux, mystérieux, touchant morceau des Japonais de World's End Girlfriend... à écouter d'urgence ! (Si ! J'ai dit !)

samedi 4 décembre 2010

Un petit break, un grand break

Et oui, enfin quelques jours pour me reposer (surtout dormir le matin !). Il faut savoir que les rythmes scolaires en Espagne (et plus précisément en Aragón) n'ont rien à voir avec ceux de notre cher hexagone et son sacrosaint système de vacances toutes les 7 semaines. Pour ma part je suis rentré le 1er septembre, j'ai eu un pont de 4 jours ("Puente del Pilar") début octobre et le lundi de la Toussaint comme seuls jours de congés perdus dans mes semaines de 5 jours. Oui, oui, ok, dis comme ça ça fait le mec qui veut se faire plaindre. En fait je suis content de mon sort étant donné qu'être occupé comme ça empêche forcément de s'ennuyer... Et comme mon boulot n'est pas si usant que ça, je me sens malgré tout privilégié.

Maintenant j'avoue apprécier l'idée d'un break. Le mois de décembre est une peau de chagrin ici pour les jours de boulot dans les établissements scolaires. En effet, tout d'abord nous avons le plus long pont de l'année entre le 3 décembre et le 8 décembre inclus, c'est le "Puente de la Constitución" ou "Puente de la Inmaculada" (ça dépend si vous êtes pieux ou pas). On fête le référendum constitutionnel du 6 décembre 1978 qui ouvrait la voie à la réelle démocratie trois ans après la mort de Franco. Le 8 décembre correspond, lui, à la célébration de l'Immaculée Conception, c'est bien une fête religieuse. Le 6 et le 8 sont fériés (personne ne travaille) et, de fait, on bouche les trous avec d'autres jours de congés, ce qui explique la longueur du pont que l'on pourrait donc nommer "Aqueduc de la Constitution". Ensuite, vont arriver les vacances de Noël, le 22 décembre dans l'après-midi, et qui s'étaleront jusqu'au 9 janvier au soir, soit 18 jours de congés. D'après un savant calcul vous saurez donc qu'en décembre on ne bosse qu'à peine deux semaines.

Certains collègues espagnols semblaient surpris que je ne profite pas du "Puente de la Constitución" pour repartir en France quelques jours. J'estime que ça serait too much de me taper deux aller-retours dans le même mois car, bien évidemment, je rentre au pays pour Noël. Pour ce pont, je me suis surtout fixé comme objectif de nettoyer et ranger l'appartement parce que ça tourne au n'importe quoi... mais bon, en rentrant du boulot je n'ai pas envie de me taper du ménage, je suis fainéant et je me contente de le faire au minimum le week-end... Je vais essayer, si la météo me laisse tranquille, de monter un peu dans les hauteurs pyrénéennes ou pré-pyrénéennes pour profiter de l'air pur et des paysages. Si je retrouve mon chargeur de batterie j'en profiterais peut-être aussi pour prendre quelques photos. J'aimerais travailler autre chose que celles de Granada ou des photos qui datent de plus d'un an.
Pourquoi ne pas faire un petit tour dans la cité médiévale de Ainsa ?


Pour les vacances de Noël, je remonte donc en France... retour au bercail. Plusieurs raisons font que je n'ai pas une envie folle de me retrouver en famille mais, bon, c'est un "devoir" à accomplir. Je vois surtout pour moi l'avantage de revoir, dans la mesure du possible, quelques amis. Ce qui est couillon c'est que nos vacances sont décalées et que finalement je vais avoir peu de temps pour profiter des gens. J'essaye de me concocter un programme. Tout d'abord j'ai une amie qui monte sur Huesca le 19 décembre alors que je bosserai encore, on passe 3/4 jours ensemble et ensuite je lui laisse mon appart' pour qu'elle passe Noël en Aragón avec son compagnon. Le 23 au matin, je lui laisse les clefs et je pars donc en France. Là-bas je pense voir ma pote "ange-gardienne" une journée ou deux soit en Corrèze, soit sur Poitiers car elle se propose de descendre dans la cité qui a fait ma gloire ; ensuite va arriver le premier de l'An que je vais fêter tout seul pour la première fois en 15 ans, c'est l'avantage d'avoir perdu presque tous ses potes suite à l'année rock'n'roll de l'an passé. Ceux avec qui je pouvais le fêter partent sur Venise en amoureux pour la période. Je n'en fais pas un drame mais ça me montre comment ma vie a changé quand-même, si l'on scrute ce genre de détails. Après ça, je monte à partir du 3 janvier en région parisienne histoire de faire une tournée et voir des gens qui seront enfin rentrés de leur propre vacances de Noël, occasion donc de revoir la dame des tiramisus de la Brousse, la copine qui s'est mariée cet été, le compositeur luchinophile, la blondinette puis de nouveau l'ange-gardienne chez qui je dormirai. C'est cool, ça me rajoute des kilomètres mais avec tout ce que je m'avale, je suis pas à 200-300 kilomètres près.

Retour le dimanche 9 janvier sur Huesca, en espérant que ça ne sera pas n'importe quoi les routes (neige, gel, verglas) à ce moment-là. Je serai de nouveau frais et dispo le 10 janvier dans mon "colegio"... Et va falloir être frais et dispo longtemps car après ce double-break, entre janvier et juin nous aurons 3 jours de congés en février et une semaine à Pâques pour nous... 6 mois presque non-stop, ça va être la découverte !

Les divergences du je - XXVIII

Bon, ben ça y est, ça fait un an pile que je me suis coupé les cheveux pour la dernière fois (quand je dis "pile", c'est pas que je tienne un carnet pour ce genre de chose, c'est juste que je sais que c'était début décembre 2009). Ma foi, ils poussent toujours... là j'en suis à une phase "entre-deux", c'est-à-dire que j'ai les cheveux mi-longs si l'on peut dire et que c'est un vrai bordel pour les ranger... c'est un nouveau problème dans ma vie auquel je n'avais jamais été confronté. Du coup, je tente un peu tout, vu que je n'ai pas encore trouvé de serre-tête (qui serait l'accessoire idéal dans mon cas)... dernièrement je suis passé aux barrettes, ce qui m'a valu d'être un peu l'attraction de mon établissement. La risée des loulous, l'étonnement de mes collègues (certain(e)s me faisant "ouh la !" en rigolant, d'autres "ah, mais t'es beau comme ça !")... bon maintenant j'ai des barrettes noires plus discrètes... donc voilà deux clichés récent de ma pomme, pour mes archives persos... où évidemment je fais une gueule de con (méchant et "mongolo") volontaire ! Je précise que je suis assez bien "coiffé" sur celles-ci, parce que le matin j'ai une gueule de Capitaine Caverne assez horrible !
Autportrait, décembre 2010

Instantané grenadin - XLVI

La visite de la Alhambra fait partie des dernières choses que j'ai faites à Granada puisque j'ai dû revenir le surlendemain en France. J'ai eu beaucoup de chance ce jour-là puisque ce lieu ordinairement bondé de monde était presque vide et le ciel chargé de nuages qui m'aidaient beaucoup à gérer la lumière, et à décorer les scènes, lors des prises de vue. Ici nous sommes face à un des nombreux palais qui peuplent la Alhambra.
Dans l'Alhambra de Granada (Espagne, Andalousie) mars 2009 © 2010